Paul Baird - Australie
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BACKGROUND
En 1991, j'ai écrit une satire politique intitulée " En l'an 2252" ; (P.Barber, pseudonyme) Des exemplaires ont été distribués prématurément par un agent littéraire de Chicago. En conséquence, beaucoup d'éditeurs, de rédacteurs et auteurs eurent accès à des copies. Avant qu'une deuxième ébauche ait été préparée, il était clair que la censure secrète empêcherait toute possibilité de publication...
J'étais déjà sous surveillance 24h/24 et je mettais en place les réponses/réactions des sections corrompues de l'industrie du spectacle, particulièrement les médias. Les raisons de leurs objections sont nombreuses. Le livre critiquait beaucoup de choses que les criminels dans les hautes sphères emploient, pour obtenir ce qu'ils veulent (et avoir le contrôle des autres).
La corruption, la drogue, la guerre, la tromperie des médias, et toute la panoplie de l'immoralité ont été ouvertement attaquées dans le roman. J'ai également mené campagne pour l'obtention de lois protégeant la vie privée. Les répercussions personnelles sont décrites ci-dessous. (Ce que les médias firent est mis en relief sous "Feedback").
Pendant la lecture de ce récit, veuillez avoir bien présent à l'esprit la grande influence des agences secrètes et du crime organisé, dans toute notre communauté. Quelques personnes bien placées dans chaque secteur peuvent provoquer la destruction de ceux qui ont été réduits au silence.
D'autres qui collaborent avec ces criminels sont trop égoïstes, effrayés ou indifférents pour intervenir. En outre, parce que des criminels fortunés peuvent fabriquer de fausses accusations, je déclare sur l'honneur que non seulement je n'ai jamais commis de délit quel qu'il soit, mais que je n'en ai jamais eu la moindre intention.
J'ai réagi au harcèlement, de manière défensive, mais aussi verbalement, avec de l'indignation, de la colère, voire de l'humour, mais cela s'arrête là. Par conséquent, toutes mauvaises interprétations ou falsifications de mes écrits etc. doivent être ignorées.
NOTE : Les exemples de réactions qui me firent prendre conscience des éventualités de mise en scène inclurent:
a) apprendre de l'industrie de la sécurité/détectives privés que le message "Tu peux t'en laver les mains" a été fait circuler, ce qui veut dire ne pas m'adresser la parole et
b) se voir nommé auprès des media (en particulier, le présentateur de la télé M.Willesee) par un détective privé qui a, bel et bien, enquêté. Apparemment, sous le prétexte qu'il avait vendu ses intérêts des courses hippiques, on devait lui faire confiance ?
Etant très peu au fait de la corruption dans ce type d'industrie ou de toute autre (y compris le trafic de stupéfiants, les media, les organisations de dealers), j'en étais fort surpris. En tout cas, dans l'impossibilité de rencontrer M. Willesee, j'ai tenté de rencontrer certains de ses collègues (voir "Meetings" Jan.97)
Qui est au courant?
Les personnes ci-après savent qui est impliqué:
Trois personnes, incluant un haut fonctionnaire de la Police Fédérale et un ancien membre d'une agence gouvernementale, m'informèrent que le Premier Ministre est au courant de la situation mais qu’il a les mains liées. Au début de l'année 1996, il a, en fait, demandé à l'AFP de procéder à des enquêtes sur la surveillance, mais il ne leur était pas possible de le faire efficacement, pour des motifs légaux. Toutefois, on m'avait fait savoir que l'affaire était politiquement sensible.
NOTE: Si les media peuvent s'abstenir de faire la sourde oreille, l'AFP peut aussi. Ils ne pouvaient pas prêter main forte, en raison de l'identité de ceux qui sont impliqués.
Ros Chilvers : Ex-détective privée d'une agence gouvernementale. Elle avait parlé avec Paul Keating, à l'époque où il était Premier Ministre Travailliste et me fit savoir que celui-ci faisait effectivement parti de la vendetta contre moi.
Warren College: Bureau du Secrétaire du Cabinet Fédéral. Il avait parlé avec l'actuel Premier Ministre, John Howard, qui déclara que la situation était trop embarrassante pour qu'il intervienne. C'était embarrassant, parce que les politiques Travaillistes Fédéraux, les fonctionnaires du gouvernement et les media sont impliqués, tout comme leurs homologues aux Etats-Unis. C'est, en fait, une conspiration criminelle du silence.
Steve Duffield : Bureau de l'ex-Sénateur Alston. Il était au courant et tenta d'offrir de l'aide. En l'espace d'une semaine, il avait disparu et on ne retrouva pas ses traces.
Mme J. Bonner : Bureau de l'ex-Premier Ministre John Howard. Etait au courant mais refuse, à présent, d'en discuter, même avec des membres du parti libéral.
Matt Francis : Bureau du Sénateur Newman. Déclara que beaucoup de membres du monde politique savaient que j'étais surveillé et harcelé, à cause du livre, et ajouta que ce livre lui ouvrit les yeux, pour se rendre compte de l'étendue de ce qui se passait, à savoir des crimes politiques.
Mick Roberts : Ancien membre de l'AFP. Au moment de prendre sa retraite, il m'annonça qu'il m'avait toujours totalement cru, mais qu'il y avait un mur de secret qu'il ne pouvait pas franchir. Personne ne voulait en parler et cela "sentait le journaliste et le politicien", disait-il.
Nelson Chad : Ancien policier et enquêteur. Les journalistes de Channel 9, en particulier Ray Martin et autres travaillant sur "A Current Affair", étaient impliqués. Ceci fut même confirmé par un directeur de la Australian Consolidated Press, Monsieur G.Cubbin.
Note: Le propriétaire de Channel 9, Kerry Packer n'est pas le seul magnat de la presse qui voulait me réduire au silence. Aucune personne de la communication ne souhaitait que le grand public fût totalement au courant des invasions de la vie privée et des crimes qu'avaient commis les journalistes et les fonctionnaires gouvernementaux.
Rappelez-vous, j'avais mené campagne pour l'obtention de lois protégeant la vie privée pendant des années, avec John Howard lui-même, qui soutenait mes points de vue par écrit.
Ceux qui sont harcelés pour m'avoir aidé :
ROSS SAUNDERS, Ancien chef des programmes religieux à Channel 2. Il confirma tous mes soupçons sur l'implication des media et m'en informa. Il fut forcé de partir, en raison du harcèlement secret qu'il avait enduré.
DAVID SANDERSON, Cinéaste de catégorie B. Il m'appela et se proposa de faire un documentaire sur les agressions technologiques, secrètes des honnêtes gens qui ont parlé ou écrit sur les méfaits dans les hautes sphères. Il jugea tout cela dégoûtant... Cependant, il y eut recours à la peur et au chantage, pour que lui-même et ceux auprès de qui il avait sollicité de l'aide, abandonnent le projet complètement.
HOMI BAHRAMALI - Il travaillait sur son propre neurophone. Donc, son harcèlement venait, en grande partie, de ses propres activités professionnelles. Il travaille, actuellement, au Centre For the Mind à l'Université de Sydney, mais, pour des raisons évidentes, il est prudent, quand il s'agit d'offrir une véritable assistance aux victimes.
SEAN EDWARDS, ex-fonctionnaire de la Branche Spéciale de la Police du North South Wales et les ex-fonctionnaires de l'AFP, Graham Cane, Mick Roberts, Jeff Sundin, Chris Woods et Mark Andrews offrirent également leur assistance, mais ne furent pas harcelés.
KERRY STOKES
Différents moyens de harcèlement et de persécution
Liste noire
Depuis la mi-1991 on m'empêche d'occuper un emploi rémunéré à plein temps, en dépit du fait que je possède des diplômes en Droit et en Sciences Economiques et une solide expérience professionnelle, incluant des passages à la Chambre de commerce, et une importante expérience de la banque et de l'administration fiscale australienne.
Les "Instructions" étaient probablement diffusées par ceux qui étaient impliqués dans des activités criminelles. (Un enquêteur privé me signala qu'on avait fait passer le message, pour que chacun se lave les mains de cette affaire. Personne n'osait aider). Plusieurs obstacles surgissaient entre moi-même et le travail, bien que je fusse autorisé à faire une activité simple: le télémarketing.
Intimidation explicite
J'ai été suivi et harcelé par des détectives privés et des policiers corrompus, mais ils ne m'ont jamais abordé, à aucun moment. A des moments cruciaux, des appels malveillants me parviennent chez moi. Ils ne disent jamais rien. Silence...puis, ils raccrochent.
Mon courrier, en particulier celui venant des Etats-Unis, est souvent intercepté. Par exemple: sur une lettre étaient dessinés un satellite de surveillance qui me contrôlait et les mots "Bonne journée".
Des hélicoptères et de petits avions vrombissent exprès au-dessus de ma maison, me suivent, et même planent au-dessus de ma tête, lorsque je marche dans la rue ou lorsque je suis au volant. Ceci se produit, en d'innombrables occasions, de jour comme de nuit, sous les yeux de mes amis ou des membres de ma famille.
Ceci peut être déclenché par un événement (par exemple, quand je vais vers ma boîte aux lettres), par une opinion politique exprimée en privé (faisant parfois venir jusqu'à trois hélicoptères immédiatement) ou par un moment de la journée (exemple: lorsqu'un programme sur les affaires courantes passe à Channel 9 ou à Channel 7).
Des hurlements de sirènes peuvent également être déclenchés, de la même manière que le harcèlement par des avions. Ceci coïncide souvent avec vos visites aux toilettes, ce qui est plutôt embarrassant. Si je suis dans la rue, des ambulances vont attendre dans un coin ou vont arrêter les sirènes, juste au moment où elles s'approchent de moi, et souvent font demi-tour. De toute évidence, elles ne vont nulle part, dans aucune direction précise.
NB: Fausses alarmes, livreurs et coursiers corrompus et pots-de-vin aux pilotes (pour déviation de vols). Tous contribuent à mettre en œuvre ces formes de harcèlement. Mes enquêtes ont montré que tout ceci est monnaie courante.
Surveillance
De 1991 à ce jour, je suis sous surveillance-satellite audiovisuelle, 24h/24. Les résultats ont été mis à la disposition des politiques et des journalistes. Des détectives privés ont confirmé que l'ex-premier ministre, Paul Keating et le personnel du programme "A Current Affair" de Channel 9 étaient activement impliqués, mais il y en eut beaucoup d'autres. Notamment, certains hommes politiques travaillistes pour Channel 9 de Kerry Packer, une fois partis à la retraite. Par exemple, Richardson et Hawke.
A leur insu, les membres de ma famille étaient, eux aussi, fréquemment surveillés, au début des années 1990. Manifestement, vers la fin de l'année 1996, le contrôle media direct des signaux (des agences gouvernementales) cessa, car des systèmes-satellites plus avancés furent employés.
Ceci, je suppose, peut être dû au fait que le gouvernement libéral, élu en mars 96, n'était pas activement impliqué dans le harcèlement. Ils ont, donc, trouvé d'autres moyens pour me harceler. Toutefois, je ne suis pas certain de la raison précise.
Feedback
Mes idées, mes paroles, mes phrases ont émaillé d'innombrables discours, des nouvelles, des annonces publicitaires, des scripts et des écrits. Cela provenait pas seulement des résultats de la surveillance, mais aussi du fait que le livre, malgré l'interdiction secrète imposée par les criminels concernés, était abondamment utilisé par plusieurs écrivains et rédacteurs de journaux, en particulier, ceux qui travaillaient pour Rupert Murdoch (par exemple, Harper Collins, The Telegraph...etc.).
Je découvris non seulement des directeurs de télévision qui encensaient le recours à de tels vols et à de telles techniques de harcèlement, mais l'un d'entre eux reconnut même, ouvertement, que son équipe devait, en partie, en endosser la responsabilité.
Une grande partie du feedback (ou "réaction" devant un processus précis) impliquait des menaces de mort subtiles mais constantes.
Beaucoup de membres du personnel des media à Sydney étaient clairement au courant des fréquences audio de surveillance appropriées et surveillaient directement jusqu'à la fin de 1996. Ceci a été rendu plus évident par des commentaires formulés par des présentateurs TV/radio de "live to air". Les présentateurs ont été, de toute évidence, informés et "gavés".
Avec l'arrivée du harcèlement de neurophone et du scannage de cerveau (dans mon cas), il y avait moins de feedback direct (retardé ou transmis par relais) ... comme si les médias ne pouvaient plus directement surveiller les signaux.
Cependant, la vitesse du feedback a encore repris, dans les années qui suivirent. Quoi qu'il arrive, le feedback des pensées peut être bien plus accablant que le feedback des mots... tous les deux continuent jusqu'à ce jour.
Dans mon cas, le passage vers des systèmes de surveillance plus avancés se produisit au moment même où le bureau du Premier Ministre m’informait que je ne recevrais plus de réponses à ma correspondance, bien que cela ne signifiât pas grand' chose.
Autant que je sache, il est possible que j’aie pris tout simplement la place d'une autre cible d'expérimentation, sélectionnée pour des motifs politiques, pour un programme de recherche humaine illégale.
Exemples de feedback (par Channel 9)
1. PROMOS - Exemple: le Directeur de l'ACP de Kerry Packer, Mr Graeme Cubbin, a admis que le programme "promotionnel" "I am Channel 9», en fait, me visait. Plusieurs des présentateurs à l'antenne travaillant à Channel 9 figuraient dans cette publicité. Je pense que la plupart d'entre eux savaient ce qu'ils faisaient.
2. EXPRESSIONS - Exemple: juste avant la fin de "A Current Affair" sur Channel 9 pour 1992, la présentatrice d'alors, Jana Wendt, était citée dans un magazine pour avoir prononcé :" je suppose que j'irai à ma tombe sans être capable de voir plus loin que le bout de mon nez", commentaire que j'avais fait, sachant que il pouvait être entendu par hasard, juste avant cet interview ( ce n'est pas tout à fait un dicton courant).
Et ce n'était pas l'unique référence dans le article. Coïncidence ? Imaginez de telles coïncidences se produire une douzaine de fois par jour, pendant des années, et vous comprendrez pourquoi ce "perroquetage" est tellement utile pour eux. C'est extrêmement oppressant.
3. FEEDBACK DIRECT - exemple: en deux mémorables occasions, au moins, j'avais répondu à des sarcasmes "live" de la part des employés de Channel 9, pour avoir l'intégralité de la transmission coupée immédiatement.
4. AUTRES "COINCIDENCES"
- exemple: le présentateur Ray Martin de ACA, Channel 9 présenta un programme sur les hommes politiques qui ne répondent pas à la correspondance. Ils suggérèrent que les téléspectateurs fassent appel aux services d’une société appelée Voterlobby.
Le rapport ? C'est que je venais de contacter le chef du personnel du Premier Ministre sur mes multiples et multiformes lettres à Mr Howard et son Cabinet, restées sans réponse et j'avais utilisé Voterlobby, pour interroger les députés sur la nécessité d'avoir des lois pour la protection de la vie privée. (Avant son élection en mars 1996, Mr Howard soutenait pleinement mes points de vue).
En outre, le jour où ma mère reçut les résultats des analyses de son cancer (août 2004), les traitements du cancer par Dr John Holts passait sur "A Current Affair" de Channel 9.
Les émissions ultérieures sur Dr Holt coïncidaient avec les étapes importantes du traitement de ma mère. Des attaques cyniques comme celle-ci mettent votre patience à l'épreuve et prouvent que ceux qui se trouvent derrière ce harcèlement ne s'arrêteront à rien.
Rencontres (Janvier 1997)
Exemple 1 : Mike Minehan (Ex Channel 9, A.C.A, UTS)
Un employé chargé de la sécurité tenta d'empêcher que notre rendez-vous ait lieu, sur les instructions d'un appel extérieur inconnu. Pareillement, Minehan était constamment dérangé par des appels téléphoniques.
Lors du dernier appel, il raccrocha le téléphone en s'exclamant: "Ils sont en train de me dire de partir. Maintenant !" Toutefois, il m'avait déjà dit que ma situation n'était pas peu fréquente. Il me suggéra de rencontrer Jana Wendt. Il paraissait réellement préoccupé.
Bien que cela paraisse naïf maintenant, à l'époque je pensais que les journalistes (et les autres) pouvaient aider sur la question de la torture des ondes cérébrales/neurophones. J'avais même contacté un ou deux qui m'avaient personnellement harcelé avec le feedback de surveillance.
Exemple 2: Jana Wendt (Ex Channel 9, A.C.A, Channel 7 etc.)
On l'avait congédiée de Channel 7, juste avant notre rendez-vous. Au lieu de cela, j'avais donc rendu visite à sa famille. Elle m'annonça que sa secrétaire fixerait un autre rendez-vous, mais elle m'avertit que tout était sous le contrôle des hauts responsables de la télévision. MM D.Leckie, Rice et d'autres qui furent mutés de Channel 9 à Channel 7 étaient, sans le moindre doute, impliqués.
La police de Eastwood me harcela, plus tard, à la demande de leurs "amis" de Channel 7. Ils refusèrent de parler à Wendt personnellement.
Il m'avait été demandé de ne fixer aucun rendez-vous et je fus emmené, dans un hôpital psychiatrique, en guise d'avertissement. Avant d'être examiné puis relâché (par un psychiatre perplexe qui ne voyait aucune raison pourquoi j'étais là), des employés "dans le coup" me dirent que, au moins six autres personnes, qui avaient sollicité de l'aide de Wendt y avaient été également envoyées.
"C'est ce que vous recevez pour les avoir contrariés", déclara une chef-infirmière. (Ils savaient et pourtant, ils collaboraient). Une demande de FOI (Freedom Of Information) signala que les Détectives Pollock et Spurr m'avaient mis en garde, au nom de la direction de Channel 7, mais les Affaires Intérieures de la Police n'avaient rien fait, surtout parce que des personnalités de la télévision étaient impliquées.
Je découvris également que le psy de la police, un certain Dr R. Burek, avait prétendu que notre discussion de 3 minutes avait pris 45 minutes et avait, plus tard, effacé ses notes, en affirmant que je souffrais d'hallucinations auditives.
Il devait essayer d'effacer cela, avant que je ne puisse en prendre possession, parce que je ne l'avais mentionné à qui que ce soit (y compris lui-même), durant l'incident. L'honnête psychiatre de l'hôpital qui m’avait laissé partir, remarqua ceci, mais il me laissa le soin de poursuivre ces gens corrompus.
Depuis ce préoccupant épisode, j'ai appris beaucoup sur le rôle des personnalités des media traditionnels, grâce aux fonctionnaires des agences gouvernementales, aux victimes harcelées par les media...etc.
Il n'était pas surprenant que les suppressions et les oppressions sévissent dans ce pays et dans beaucoup d'autres démocraties occidentales. La mafia des media a beaucoup trop de pouvoir.
Exemple 3: Kerry Packer (magnat de la presse, Australian Consolidated Press... etc.)
Pendant que j'attendais à la réception, Mr Packer et son fils sortirent du parking et prirent l'ascenseur. James Packer se tournait vers moi avant de disparaître dans l'ascenseur.
Six abrutis m'entourèrent alors, le leader prétendait que j'étais monté six fois au troisième étage de Packer. Je n'étais même pas certain que Packer y serait.
Ceci était mon unique visite et je me trouvais au rez-de-chaussée. Lorsque je me mis à railler et à demander des preuves de ce mensonge, il rétorqua "oh, de toute façon, sortez». Ce que je fis. Je ne tenais pas à leur donner un prétexte pour monter un coup contre moi.
N.B. En raison de ces expériences, aucune autre tentative n’avait été faite, pour résoudre cette situation, en face à face. Les employés des magnats de la presse, Singleton, Packer et Murdoch sont tous impliqués dans ma situation. Certains, m'a-t-on dit, sont aussi fortement impliqués dans le trafic de stupéfiants.
D'où, les relations mafia/CIA, et l’accès à la technologie. Cela vaut la peine aussi de noter que, en 1991, lorsque tout ceci commença, les dirigeants des trois media étaient fermement derrière le Parti Travailliste australien, la source centrale du problème. Toutefois, des employés d'autres chaînes, comme le propriétaire de la 7, Kerry Stockes, étaient également clairement impliqué.
Observation
Ma propre situation est connue de plusieurs personnes et certaines des coïncidences les plus bizarres et les plus significatives ont été délibérément omises. Il est, toutefois, à espérer que cette brève illustration a servi à quelque chose.
Comme les agences secrètes elles-mêmes, en particulier la CIA, ceux qui utilisent les résultats de la surveillance, pour persécuter des personnes innocentes, sont un peu plus que des nazis (électroniques) modernes.
Beaucoup d'entre eux sont d'éminentes personnalités publiques qui n'ont aucune crainte de la loi et ont peu de respect, voire aucun, de leurs prochains. Le contrôle de la perception et de l'opinion publiques à travers de telles personnes est une priorité, à la fois pour les agences et pour ceux dont ils protègent les intérêts.
De toute évidence, seuls ceux qui sont coopératifs obtiennent des postes importants, au sein des cercles des media appropriés. En fait, certaines sections des media sont responsables des énormes violations des droits de l'homme, y compris (ironiquement) la suppression de la liberté d'expression. Encore une fois, la liberté de la presse ne doit pas vous octroyer le droit à l'oppression.
NB: Si une victime est relativement non affectée par le feed-back de mass-media ou "s’accorde" avec toutes les productions des mass-média et de l'industrie du spectacle pour éviter le feed-back ou le harcèlement, alors d'autres formes plus avancées de harcèlement, comme les analyseurs de neurophone et d'ondes cérébrales peuvent prendre leur place.
Ce changement peut aussi se produire, si l'agence ou les criminels responsables souhaitent empêcher la surveillance directe de leurs fréquences par les media, la Police Fédérale...etc., quelles qu'en soient les raisons.
Persécution religieuse
Bien que je sois de foi catholique, et que j'aie été subtilement ridiculisé pour cela, l’église catholique (qui s'aligne étroitement sur le parti travailliste australien, lequel a favorisé la situation) m'a également harcelé en utilisant les résultats de la surveillance.
Tandis que quelques prêtres étaient bien disposés (un d'entre eux avait même admis qu'il avait entendu parler du livre interdit), d’autres firent comme l'avait instruit la hiérarchie de l’église. Les liens entre l'église, le parti travailliste et les personnages criminels d'outremer sont bien connus. Une certaine pression a pu être mise en œuvre.
Note : Il est intéressant de voir qu'un des prêtres coupables, un ex-motard du nom de Kevin Lee, ait été choisi, en tant que concurrent sur le Challenge de la Prison de Pentridge organisé par A. Denton, Radio 2mmm , en novembre 2001. Il semblerait qu'il ait gagné. Des coïncidences bizarres, comme celle-ci , étaient monnaie courante, au début des années 90. (Je me demande qui d'autre il a harcelé).
Harcèlement par neurophone ou harcèlement sonore
Depuis Septembre 1996, je reçois des menaces continuelles et claires, ainsi que des propagandes venant d'une agence ou d'une source inconnue, probablement la CIA.
Cette méthode de torture qui semble être connue de plusieurs entités politiques et des mass media, est généralement effectuée avec l'aimable autorisation d'un satellite qui vous traque, personnellement.
Un laser dirige les discussions en direct, le bruit et la musique générée par un ordinateur vers le corps. Il se déplace dans le système nerveux, sous forme d'impulsions électriques et s'installe dans le cerveau, en court-circuitant les mécanismes auditifs normaux. Seule la victime l'entend.
D'éminents journalistes et des hauts fonctionnaires de la Police Fédérale déclarent que ce n'est pas peu fréquent et je sais qu'il existe des milliers de victimes politiques aux USA et des centaines ici, en Australie. Les motifs de cette forme d'oppression semblent aller au-delà de la simple création d'ennuis.
Ce qu'ils souhaitent, c'est que les victimes seront discréditées, si elles réagissent mal aux railleries verbales ou ne sollicitent pas la bonne personne pour obtenir de l'aide. Par exemple, le personnel mafia des media, les médecins politiquement naïfs ou la police ignorante pourraient aggraver la situation.
Aux USA, où les autorités refusent d'admettre que leur propre gouvernement encourage de telles activités, les plaignants sont souvent internés en hôpital psychiatrique.
En attendant, les hauts fonctionnaires de la police fédérale , quelques conseillers politiques et les activistes des droits de l'homme sont ceux qui apportent le plus grand soutien, ici. Beaucoup sont assez honnêtes pour admettre qu'ils savent à quelles technologies les agences et les criminels du Grand Frère peuvent accéder. Aucune aide pratique, toutefois, ne peut être offerte.
Expérimentation - surveillance des ondes cérébrales
En outre, depuis septembre 1996, je subis l'humiliation d'un ciblage d'une technologie expérimentale (encore, par satellite), qui permet le contrôle du champ magnétique autour de ma tête.
Ce puissant système de balayage (scanning) et de traque fournit les résultats à un service inconnu (probablement US), avec un système informatique avancé, capable d'interpréter instantanément les modèles d'onde cérébrale qu'il reçoit .
Le feedback auditif mène alors à un moyen d'interrogation à distance et/ou de torture psychologique. Associée à la surveillance audiovisuelle, la situation globale est comme si vous étiez dans un camp de prisonnier de guerre électronique. Un haut responsable de l'AFP a indiqué que ceci peut continuer pendant plusieurs années, mais ils n'ont aucun pouvoir pour l'arrêter.
Les violations des droits de l'homme que j'endure sont considérables. Cependant, ce qui me préoccupe le plus, c'est que des gouvernements, qui se disent démocratiques, peuvent permettre le développement et l'utilisation des technologies aussi diaboliques, qui étouffent la liberté d'expression.
Dénonciateurs/Lanceurs d'alerte assassinés
Bien que je n'aie jamais rencontré ni l'un ni l'autre , le neurochirurgien/psychiatre, Alistair Stuart et le technicien en chef de Black Mountain Tower (Canberra), Bill Roy, furent tous les deux menacés, harcelés puis tués pour avoir essayé de révéler l'information sur la surveillance et le harcèlement de pointe (secteur de Bill) et la psychiatrie politique (centre d'intérêt de Alistair).
Les mesures extrêmes prises, pour réduire au silence les honnêtes individus qui auraient parlé en connaisseurs et en grands spécialistes, servent d'avertissement à d'autres.
Cela, naturellement, n'excuse pas la participation active de tant de criminels dans la vie publique, en pratiquant la répression et la destruction de respectables individus, uniquement parce qu'ils ont dit la vérité... Au lieu d'offrir de l'aide, les media sont, en fait, les pires protagonistes. Ce sont les antagonistes, et non les alliés, de la vérité et de ceux qui sont en quête de cette vérité.
Conclusion
Beaucoup de personnes publiques nous trahissent par leur silence sur ces sujets. Beaucoup de politiciens et de journalistes, eux-mêmes, oppriment activement d'autres collègues, en secret. Et vous ne lirez rien à ce propos, parce que les media sont eux-mêmes une partie du problème.
En conclusion, cela peut valoir la peine de noter les commentaires d'un haut fonctionnaire investigateur du bureau de l'Inspecteur Général de la NASA. Après avoir permis l'existence des technologies mentionnées dans ces pages et après avoir soumis ses remarques sur les utilisations abusives de telles armes antipersonnel, il a conseillé : "Je vous suggère de prier".
Veuillez entrer en contact avec l'ONU, la Croix-Rouge Internationale ou Amnesty International pour exprimer vos inquiétudes.
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PAUL BAIRD, AUSTRALIE
18/09/08 · 0 comentarios · Autor: presentation-de-la-situation
SOURCE : Traduction de Rudy Andria (http://rudy2.wordpress.com/)
Date de dernière mise à jour : 05/07/2021
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